![]() ![]() Lines of light ranged in the non-space of the mind, clusters and constellations of data’.īut here’s the thing. A graphical representation of data abstracted from the banks of every computer in the human system. In this classic of high-tech adventure, full of hackers, hustlers, ninjas, AI entities, mercenaries, and corporate warriors – much of it set in the Japanese underworld – the author defined cyberspace as ‘a consensual hallucination experienced daily by billions of legitimate operators, in every nation, by children being taught mathematical concepts. The word went on to be popularised globally by the founding text of the ‘cyberpunk’ genre, Gibson’s debut novel Neuromancer (1984), which has sold seven million copies and is the only book to have won the Nebula, Philip K. On ne saurait de fait la qualifier puisqu’elle mélange le cyber à du monde parallèle et/ou virtuel ainsi qu’à du… voyage dans le temps ? avec bien entendu complots de base et machinations à deux balles à la clé.Welcome to the latest Creative Sensemaker from Tortoise Mediaįour decades have passed since William Gibson coined the term ‘cyberspace’ in the short story Burning Chrome (1982) – a full seven years, please note, before Sir Tim Berners-Lee invented the World Wide Web, and more than 20 before high-speed broadband became widely available. Il faut dire que la série part très vite dans tous les sens et fait… vraiment n’importe quoi. C’est qu’à part son joli minois et sa jolie silhouette, eh bien… ils auraient aussi bien pu mettre n’importe qui à la place ! c’est dire si son rôle est plat et son interprétation… sans éclat. ![]() Tiens, encore une série de chez Amacon… et devinez quoi ? c’est encore de la merde ! et pourtant cette étrange ambiance (et histoire si on peut appeler ce salmigondis « histoire »…) laissait augurer une étrangeté ‘cyber quelque chose… ‘ ou du moins de la SF pour le moins… dépaysante ! Tiens, encore une série de chez Amacon… et devinez quoi ? c’est encore de la merde ! et pourtant cette étrange ambiance (et histoire si on peut appeler ce salmigondis « histoire »…) laissait augurer une étrangeté ‘cyber quelque chose… ‘ ou du moins de la SF pour le moins… dépaysante ! D’autant que la gracieuse Chloe Grace est dans le rôle principal… hélas, elle déçoit ici régulièrement, très régulièrement et ce, avec une constance particulièrement déprimante. ![]()
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